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septembre
2009

Données épidémiologiques sur le lien entre les champs de radiofréquences émis par les téléphones cellulaires et le risque de tumeurs cérébrales et crâniennes

Les auteurs passent en revue les plus récentes données épidémiologiques sur l’usage du téléphone cellulaire et le risque de tumeurs cérébrales, en interprétant les principaux biais méthodologiques, les résultats obtenus auprès des utilisateurs de longue date et l’association possible entre l’usage du téléphone cellulaire et les différents types de tumeurs. Ils concluent que, dans l’ensemble, les études menées jusqu’à maintenant ne montrent pas un risque élevé de quelque type de tumeurs après dix ans d’utilisation du cellulaire. Les auteurs notent toutefois qu’aucun lien ne peut pour l’instant être confirmé dans le cas des tumeurs d’évolution lente, car il faudra obtenir des données à plus long terme avant de pouvoir tirer quelque conclusion.

Ahlbom, A., M. Feychting, A. Green, L. Kheifets, D.A. Savitz, A.J. Swerdlow et le Comité permanent de l’épidémiologie de la CIPRNI (Commission internationale de protection contre les rayonnements non ionisants). « Epidemiologic evidence on mobile phones and tumor risk: a review »,Epidemiology, 20(5): 639-652

Pour plus de renseignements, voir « Recherche – Épidémiologique – Études de téléphone cellulaires » et « Bibliographie – Articles de synthèse – Épidémiologie »
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Résultats d’une étude australienne sur les effets du téléphone cellulaire sur les fonctions cognitives des adolescents

Cette étude épidémiologique transversale menée en Australie avait pour but d’évaluer les effets de l’usage du téléphone cellulaire sur les fonctions cognitives des adolescents. À cette fin, 317 étudiants ont répondu à un questionnaire sur l’exposition au téléphone cellulaire, puis ont subi un certain nombre de tests cognitifs. L’exposition a été calculée en fonction du nombre total d’appels par semaine, et des analyses de régression linéaire ont été faites pour évaluer le temps de réaction et la précision de la réponse durant l’exécution de tâches cognitives. Les résultats indiquent que les adolescents qui ont déclaré plus d’appels téléphoniques ont eu un temps de réaction plus court, mais moins précis, durant l’exécution des tâches cognitives. Des résultats comparables ont toutefois été obtenus avec le service d’envoi de messages courts (SEMC), ce qui laisse croire qu’il est peu probable que les changements cognitifs observés soient dus à l’exposition aux radiofréquences (RF). Les auteurs concluent que l’usage du téléphone cellulaire est associé à un temps de réaction plus rapide mais moins précis durant l’exécution de tâches cognitives de niveaux plus élevés.

Abramson, M.J., G.P. Benke, C. Dimitriadis, I.O. Inyang, M.R. Sim, R.S. Wolfe et R.J. Croft. « Mobile telephone use is associated with changes in cognitive function in young adolescents »,Bioelectromagnetics, 30 juillet 2009 (avant impression)

Pour plus de renseignements, voir « Recherche – Épidémiologique – Études de téléphone cellulaire »
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Aucun lien observé entre le statut socioéconomique et les réseaux de télécommunications cellulaires chez les enfants et les adolescents

Cette étude avait pour but d’évaluer le lien entre le statut socioéconomique (SSE) des enfants et des adolescents et leur exposition aux champs de radiofréquences (RF) des réseaux de téléphonie mobile, mesurée à l’aide d’un exposimètre individuel. Pour cette analyse, les auteurs ont utilisé les données sur l’usage du téléphone cellulaire et les renseignements sociodémographiques ayant servi à classer les participants selon leur statut socioéconomique (faible, moyen ou élevé), extraits de l’étude allemande MobilEe menée auprès de 1 481 enfants et 1 505 adolescents. Leurs résultats indiquent que les enfants et les adolescents de faible SSE ont été plus susceptibles de posséder un téléphone cellulaire et que ces enfants, mais non les adolescents, ont déclaré une plus longue période d’utilisation quotidienne du cellulaire que les enfants d’un SSE plus élevé. Les auteurs n’ont pu établir de lien entre le SSE et l’exposition mesurée aux RF émises par les réseaux de téléphonie mobile chez les enfants et les adolescents.

Thomas, S., S. Heinrich, A. Kühnlein et K. Radon. « The association between socioeconomic status and exposure to mobile telecommunication networks in children and adolescents », Bioelectromagnetics, 13 juillet 2009 (avant impression)

Pour plus de renseignements, voir « Recherche – Épidémiologique – Étude de téléphone cellulaire »
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Aucun effet sur les paramètres physiologiques ou les symptômes subjectifs chez des groupes de sujets volontaires exposés aux téléphones CDMA

Le but de cette étude était d’évaluer l’hypersensibilité électromagnétique (HSEM) causée par une exposition aux téléphones CDMA, dans le cadre d’une étude de provocation contrôlée contre une exposition fictive. Deux groupes de sujets volontaires, soit 18 sujets déclarant une HSEM et 19 sans HSEM, ont été exposés de façon fictive et réelle aux champs de radiofréquences (RF) produits par les téléphones cellulaires CDMA, à une exposition maximale de 300 mW pendant 30 minutes. Les auteurs ont examiné différents paramètres physiologiques (incluant la fréquence cardiaque, la fréquence respiratoire et la variabilité de la fréquence cardiaque), ainsi que de nombreux symptômes subjectifs et la perception de l’hypersensibilité électromagnétique. Ils concluent que l’exposition aux RF n’a eu aucun effet sur les paramètres physiologiques ou les symptômes subjectifs examinés, autant chez les personnes avec HSEM que chez les sujets sans HSEM. De plus, leurs résultats sur la perception de l’hypersensibilité électromagnétique montrent que le groupe ayant déclaré une HSEM n’a pas été mieux en mesure de percevoir cette hypersensibilité que le groupe sans HSEM.

Nam, K.C., J.H. Lee, H.W. Noh, E.J. Cha, N.H. Kim et D.W. Kim. « Hypersensitivity to RF fields emitted from CDMA cellular phones: A provocation study »,Bioelectromagnetics, 23 juin 2009 (avant impression)

Pour plus de renseignements, voir « Recherche – Clinique – Général »
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L’exposition aux téléphones cellulaires GSM n’a pas eu d’incidence sur la transmission des stimulus sensoriels le long du nerf auditif chez les adultes en santé

Les auteurs de cette étude voulaient examiner les effets des téléphones cellulaires GSM sur les processus auditifs du tronc cérébral. À cette fin, les auteurs ont recruté 17 jeunes adultes en santé chez qui ils ont mesuré les réponses évoquées auditives du tronc cérébral, d’abord sans stimulus puis en plaçant près de l’oreille un téléphone cellulaire ouvert ou fermé, pour comparer ces trois situations. L’exposition au système GSM n’a provoqué aucune différence significative dans les formes d’ondes des potentiels évoqués du tronc cérébral. Selon les auteurs, l’exposition à court terme aux champs de radiofréquences (RF) produits par les téléphones cellulaires n’a pas modifié la transmission des stimulus sensoriels de la cochlée jusqu’au mésencéphale le long du nerf auditif, ni dans les voies auditives du tronc cérébral.
Kwon, M.S., S.K. Jääskeläinen, T. Toivo et H. Hämäläinen. « No effects of mobile phone electromagnetic field on auditory brainstem response »,Bioelectromagnetics, 16 juillet 2009 (avant impression)

Pour plus de renseignements, voir « Recherche – Clinique – Autres – Ouïe »
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L’exposition à court terme aux fréquences UMTS émises par les téléphones cellulaires n’a pas d’effets immédiats sur le système auditif humain

Cette étude avait pour but d’évaluer les effets de l’exposition à court terme aux fréquences UMTS émises par les téléphones cellulaires sur les fonctions auditives humaines. La fonction auditive a été évaluée chez 134 jeunes adultes en santé, au moyen de nombreux tests réalisés dans l’oreille exposée, avant et après une exposition réelle et fictive à un téléphone cellulaire. Les résultats montrent qu’une exposition de 20 minutes à un téléphone cellulaire UMTS (DAS de 69 mW/kg) n’a produit aucun effet régulier sur le système auditif des adultes. Les auteurs concluent qu’une exposition de courte durée aux fréquences UMTS, à la puissance de sortie maximale des téléphones cellulaires, n’a pas d’effets immédiats sur le système auditif chez les humains.

Parazzini, M., F. Sibella, M.E. Lutman, S. Mishra, A. Moulin, M. Sliwinska-Kowalska, E. Woznicka, P. Politanski, M. Zmyslony, G. Thuroczy, F. Molnár, G. Kubinyi, G. Tavartkiladze, S. Bronyakin, I. Uloziene, V. Uloza, E. Gradauskiene et P. Ravazzani. (2009). « Effects of UMTS cellular phones on human hearing: Results of the European project « EMFnEAR », Radiat Res, 172(2): 244-251

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Étude sur l’exposition individuelle aux champs de radiofréquences (RF) dans l’environnement mesurée à l’aide d’exposimètres individuels en France

Cette étude avait pour but d’évaluer l’exposition aux RF chez 377 sujets choisis de façon aléatoire pour représenter la population générale de la France, ainsi qu’à déterminer la proportion de l’exposition attribuable aux différentes sources. Les participants ont dû porter un exposimètre individuel pendant 24 heures et consigner dans un journal toutes leurs activités en précisant le lieu et la durée. Les résultats montrent que, dans la plupart des cas, l’exposimètre n’a pu détecter l’intensité de champ enregistrée, en raison de la faiblesse de l’intensité. La proportion excédant le seuil de détection, attribuable aux différentes sources (champ total, téléphones sans fil, micro-ondes Wi-Fi et émetteurs MF) a été respectivement de 46,6 %, 17,2 %, 14,1 % et 11,0 %. L’intensité moyenne globale a été de 0,201 V/m, l’intensité étant plus élevée dans les régions urbaines, durant le jour, chez les adultes et durant les déplacements. Les auteurs notent qu’un certain nombre de facteurs ont contribué à la grande variabilité de l’exposition aux RF et concluent que leurs estimations fondées sur la population devront être reproduites par d’autres études menées dans différents microenvironnements.

Viel, J.F., E. Cardis, M. Moissonnier, R. de Seze et M. Hours. « Radiofrequency exposure in the French general population: Band, time, location and activity variability »,Environ Int, 3 août 2009 (avant impression).

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Les valeurs du DAS des téléphones modifiés sont bien en-deçà des limites établies par la CIPRNI pour la population en général et l’inclinaison de l’appareil influence davantage le DAS que la rotation

Cette étude avait pour but de décrire l’étalonnage des téléphones modifiés, utilisés à des fins d’évaluation de l’exposition et de dosimétrie, et de déterminer si ces appareils sont conformes aux normes australiennes et internationales. L’étalonnage des téléphones modifiés a été réalisé sur des têtes fantômes, et le DAS a été mesuré à des bandes de 900 et 1 800 MHz, sur les côtés droit et gauche de la tête fantôme. À une fréquence de 900 MHz, le DAS maximal des téléphones modifiés a été de 0,9 W/kg en position de contact et de 0,4 W/kg dans un angle de 30 degrés. À 1 800 MHz, le DAS a été de 1,1 W/kg et de 1,3 W/kg, respectivement en position de contact et dans une inclinaison de 30 degrés. Les auteurs concluent que l’inclinaison influence davantage le DAS que la rotation et que les valeurs du DAS des téléphones modifiés à 900 et 1 800 MHz sont bien inférieures aux limites de la CIPRNI et qu’elles respectent les normes internationales.

Inyang, I., G. Benke, R. McKenzie et M. Abramson. (2009). « Use of hardware modified phones for exposure assessment in health studies in Australia: verification of compliance with standards », Australas Phys Eng Sci Med, 32(2): 62-67

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L’intensité du rayonnement est quatre fois plus élevée que la norme dans une région de Turquie

L’objectif de cette étude était d’évaluer l’intensité des champs de radiofréquences à Ankara, en Turquie, où se trouvent 64 pylônes d’émission pour la télévision et la radio, en plus d’une station de base de téléphonie cellulaire. Selon les données techniques d’entrée obtenues pour 31 émetteurs situés dans cette région pilote, l’intensité estimée du rayonnement était près de quatre fois supérieure aux normes turques.

Sirav, B. et N. Seyhan. « Radio frequency radiation (RFR) from TV and radio transmitters at a pilot region in Turkey », Radiat Prot Dosimetry, 11 août 2009 (avant impression)

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Les résultats laissent croire qu’il est peu probable que les champs de radiofréquences émis par les téléphones cellulaires altèrent les tissus de la cochlée

Les auteurs de cette étude voulaient examiner les effets d’un implant cochléaire – un dispositif électronique utilisé pour rétablir partiellement l’ouïe chez des patients présentant une grave déficience auditive – sur la distribution du DAS dans un modèle de tête exposé aux champs de radiofréquences (RF) des téléphones cellulaires. Une onde plane de fréquences de 900 MHz, 1 750 MHz et 1 950 MHz a été choisie comme source d’exposition pour cette étude. Les résultats indiquent que l’implant à l’intérieur de la cochlée a eu peu d’incidence sur les variations de la valeur moyenne du DAS. Les auteurs en concluent qu’il est très peu probable que des effets nocifs soient observés dans les tissus de la cochlée.

Sibella, F., M. Parazzini, A. Paglialonga et P. Ravazzani. (2009). « Assessment of SAR in the tissues near a cochlear implant exposed to radiofrequency electromagnetic fields », Phys Med Biol, 54(8): N135-141

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Lien entre l’intensité du champ électromagnétique incident et les valeurs du débit d’absorption spécifique (DAS) corps entier et localisé
Neubauer, G, P. Preiner, S. Cecil, N. Mitrevski, J. Gonter et H. Garn. « The relation between the specific absorption rate and electromagnetic field intensity for heterogeneous exposure conditions at mobile communications frequencies »,Bioelectromagnetics, 23 juin 2009 (avant impression)

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Les radiofréquences n’activent pas les microglies in vitro
Les auteurs de cette étude voulaient déterminer si des champs de radiofréquences de 900 MHz pouvaient avoir une incidence sur les astroglies et les microglies de rat en culture. Leurs données ne fournissent aucune preuve de quelque effet des rayonnements sur des facteurs causant des dommages dans les cellules gliales in vitro.

Hirose, H., A. Sasaki, N. Ishii, M. Sekijima, T. Iyama, T. Nojima et Y. Ugawa.« 1950 MHz IMT-2000 field does not activate microglial cells in vitro »,Bioelectromagnetics, 31 juillet 2009(avant impression)

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Impact des champs de radiofréquences sur la fécondité des humains

Les auteurs de cette étude ont examiné les effets des champs de radiofréquences sur la biologie cellulaire (p. ex., stress oxydatif, dommages à l’ADN) de spermatozoïdes humains in vitro. Les résultats obtenus montrent que les champs de radiofréquences dont la densité de puissance et la fréquence se situent dans la fourchette des valeurs des téléphones cellulaires favorisent la production d’espèces réactives de l’oxygène dans les mitochondries des spermatozoïdes humains, ce qui a pour effet de réduire la mobilité et la viabilité des spermatozoïdes et de stimuler la fragmentation de l’ADN. Ces données soulèvent clairement des questions quant à la sécurité d’un usage prolongé du téléphone cellulaire chez les hommes en âge de procréer.

De Iuliis, G.N., R.J. Newey, B.V. King et R.J. Aitken. (2009). « Mobile phone radiation induces reactive oxygen species production and DNA damage in human spermatozoa in vitro », PLoS One, 4(7): e6446

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Les champs de radiofréquences émis par les téléphones cellulaires ont un effet négatif sur la qualité du sperme et pourraient nuire à la fécondité masculine

Cette étude visait à évaluer les effets des champs de radiofréquences émis par les téléphones cellulaires sur le métabolisme des radicaux libres et la qualité du sperme dans les tissus reproducteurs du rat. Aucune différence significative n’a été observée entre le groupe témoin et le groupe exposé pour ce qui est de la numération des spermatozoïdes, mais le pourcentage de spermatozoïdes motiles a été sensiblement réduit chez les rats exposés.

Mailankot, M., A.P. Kunnath, H. Jayalekshmi, B. Koduru et R. Valsalan. (2009). « Radio frequency electromagnetic radiation (RF-EMR) from GSM (0.9/1.8GHz) mobile phones induces oxidative stress and reduces sperm motility in rats », Clinics (Sao Paulo), 64(6): 561-565

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Effets des champs de radiofréquences sur le système neurologique

Cette étude avait pour but d’examiner les effets des champs de radiofréquences des téléphones cellulaires GSM sur l’activité électrique dans le cerveau d’un porc, à des niveaux d’exposition supérieurs à ceux acceptés pour les essais chez les humains. Les résultats indiquent que l’exposition n’a pas provoqué de stimulation sensorielle des systèmes somatosensoriel, auditif ou visuel, ni n’a influencé directement le cerveau en produisant des salves d’activité à l’EEG durant la suppression.

Lipping, T., M. Rorarius, V. Jäntti, K. Annala, A. Mennander, R. Ferenets, T. Toivonen, T. Toivo, A. Värri et L. Korpinen. « Using nonlinear control of anaesthesia-induced hypersensitivity of EEG at burst suppression level to test the effects of radiofrequency radiation on brain function », Nonlinear Biomed Phys, 18 juillet 2009 (avant impression)

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Un examen systématique révèle que les symptômes des personnes atteintes d’hypersensibilité électromagnétique ne sont pas déclenchés par l’exposition aux CEM

Cet examen systématique constitue une mise à jour d’un examen précédent sur l’hypersensibilité électromagnétique. Au total, 46 études de provocation à l’insu ou à double insu ont été incluses. Les auteurs concluent qu’aucune preuve solide n’a été recensée pour corroborer la maladie déclarée, désignée sous le nom d’hypersensibilité électromagnétique.

Rubin, G.J., R. Nieto-Hernandez et S. Wessely. « Idiopathic environmental intolerance attributed to electromagnetic fields (formerly 'electromagnetic hypersensitivity'): An updated systematic review of provocation studies », Bioelectromagnetics, 13 août 2009 (avant impression)

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Un article de synthèse fournit peu de données épidémiologiques établissant un lien entre l’usage du téléphone cellulaire et la manifestation d’effets sur la santé


Samkange-Zeeb, F. et M. Blettner. (2009). « Emerging aspects of mobile phone use », Emerging Health Threats Journal, 2:e5

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Rothman, K.J. (2009). « Health effects of mobile telephones », Comment on: Epidemiology, 20(5): 653-655
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Lerchl, A. et C. Bornkessel. « Letter to the Editor on “Effects of exposure to a mobile phone on testicular function and structure in adult rabbit” by Salama et al. », Int J Androl, 10 août 2009 (avant impression)
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Salama, N., T. Kishimoto et H.O. Kanayama. « Authors response on Letter to the Editor on “Effects of exposure to a mobile phone on testicular function and structure in adult Rabbit” by Salama et al. », Int J Androl, 10 août 2009 (avant impression)
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