![]() |
septembre
2003
Aucune preuve des effets du cellulaire sur les tumeurs des nerfs faciaux Une étude récente n'a trouvé aucune preuve que les personnes atteintes d'une tumeur rare du nerf facial utilisaient le cellulaire plus souvent que les témoins. Les auteurs ont décidé d'examiner cette avenue en raison de la proximité du nerf facial de la zone maximale d'exposition au rayonnement lorsque le cellulaire est tenu près de l'oreille. Pour plus d'information, consulter la section " Recherches - Épidémiologie ". Reference:
Warren HG, Prevatt AA, Daly KA, Antonelli PJ (2003): Cellular telephone
use and risk of intratemporal facial nerve tumour. Laryngoscope113:663-667. Les enfants et les téléphones cellulaires James Lin a passé en revue la controverse exposée dans la dernière parution du Bulletin Radio Science sur les enfants utilisant un cellulaire. Deux groupes de recherche, en Utah ainsi qu'à Zurich, ont obtenu des résultats différents quant à la quantité de rayonnement micro-onde pouvant être déposée dans la tête des enfants lorsqu'ils utilisent un cellulaire tenu près de la tête. Les deux groupes ont utilisé des modèles informatiques dans leurs calculs. Lin discute des raisons possibles de la différence entre les résultats des deux groupes. On peut consulter le bulletin à l'adresse suivante: www.ursi.org/RSB.htm
Des chercheurs de l'Université de Hong Kong rapportent que l'exposition au champ électromagnétique des cellulaires GSM modifie le temps de réaction dans un test d'attention, mais seulement après que le test ait été répété avec le téléphone éteint. Aucune autre différence significative n'a été observée dans les résultats. En particulier, aucune différence n'a été notée dans le nombre de réponses exactes entre le groupe témoin et le groupe exposé. Pour plus d'information, consulter la section " Recherches - clinique - fonctions cognitives ". Reference: Lee TMC, Lam P-K, Lee LTS, Chan CCH (2003): The effect of the duration of exposure to the electromagnetic field emitted by mobile phones on human attention. NeuroReport 14:1361-1364.
|
|