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octobre
2009

Caractéristiques épidémiologiques et cliniques des gliomes et possibles facteurs de prédisposition à ces tumeurs en Grèce

Cette étude avait pour but d’examiner certaines caractéristiques des gliomes cérébraux et certains facteurs de risque potentiels de ces tumeurs, comme l’usage du téléphone cellulaire, dans le nord-ouest de la Grèce. Cette étude prospective a été menée auprès de tous les patients chez qui un diagnostic de gliome cérébral a été posé entre juin 2005 et mai 2007. Cinquante-six nouveaux cas de gliome ont été répertoriés durant cette période, mais aucune association significative n’a été établie entre la manifestation de gliomes et la consommation d’alcool, le tabagisme ou l’usage du téléphone cellulaire. Les auteurs concluent que les taux incidents estimatifs de gliomes et de glioblastomes sont plus élevés en Grèce que dans d’autres pays européens et asiatiques et qu’aux États-Unis.

Gousias, K., M. Markou, S. Voulgaris, A. Goussia, P. Voulgari, M. Bai, K. Polyzoidis, A. Kyritsis et Y. Alamanos. 2009. « Descriptive epidemiology of cerebral gliomas in northwest Greece and study of potential predisposing factors, 2005-2007 », Neuroepidemiology, 33(2): 89-95.

Pour plus de renseignements, voir « Recherche – Épidémiologique »
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L’exposition à court terme aux téléphones cellulaires n’a pas d’effets significatifs sur la mémoire sensorielle des enfants


Cette étude visait à évaluer les effets sur la santé de l’usage des téléphones cellulaires GSM (DAS 1g = 1,14 W/Kg) sur la mémoire sensorielle auditive de 17 enfants âgés de 11 et 12 ans. Les auteurs ont utilisé un nouveau paradigme pour déterminer le profil de détection des changements neuronaux consistant en différents types de changements acoustiques. L’étude a été menée selon un plan à simple insu, c’est-à-dire avec ou sans exposition au CEM. Les résultats montrent que des expositions de courte durée (deux périodes de six minutes chacune) aux CEM émis par les téléphones cellulaires n’ont pas eu d’effets nocifs statistiquement significatifs sur le profil de détection des changements neuronaux chez les enfants. Les auteurs soulignent l’efficacité du paradigme multifactoriel pour évaluer l’exactitude des perceptions et la mémoire sensorielle chez les enfants.

Kwon, M.S., M. Huotilainen, A. Shestakova, T. Kujala, R. Näätänen et H. Hämäläinen. « No effects of mobile phone use on cortical auditory change-detection in children: An ERP study », Bioelectromagnetics (avant impression), 21 sept. 2009.

Pour plus de renseignements, voir « Recherche – Clinique – Fonctions cognitives »
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Élévation du taux de sécrétion salivaire et diminution du taux de sécrétion des protéines dans les glandes parotides adjacentes aux téléphones cellulaires portatifs en utilisation 


Cette étude visait à déterminer si l’utilisation du téléphone cellulaire provoque des changements physiologiques (taux de sécrétion salivaire et taux de protéines dans la salive sécrétée) dans la glande parotide adjacente. De la salive a été prélevée simultanément des deux glandes parotides chez 50 sujets en bonne santé qui utilisaient leur téléphone cellulaire d’un côté dominant de la tête. Les résultats indiquent une différence statistiquement significative du taux de sécrétion salivaire, ce taux étant plus élevé du côté dominant de l’usage du cellulaire que de l’autre. Les auteurs concluent que la glande parotide, adjacente à l’oreille sur laquelle est placé le cellulaire portatif en utilisation, sécrète davantage de salive mais moins de protéines.

Goldwein. O et D.J. Aframian. « The influence of handheld mobile phones on human parotid gland secretion », Oral Dis (avant impression), 8 sept. 2009.

Pour plus de renseignements, voir « Recherche – Clinique – Général »
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L’exposition au téléphone cellulaire pourrait avoir une incidence sur l’activité électrique cérébrale, en réduisant la réaction d’éveil et la préparation aux stimulus d’avertissement

Cette étude avait pour but d’évaluer la variation contingente négative initiale (VCNi) évoquée par l’exposition à des signaux GSM de 900 MHz. Une étude à double insu a été réalisée auprès de dix sujets volontaires en bonne santé, qui ont été soumis à une exposition réelle ou fictive ou qui n’ont pas été exposés (téléphone éteint). Les résultats obtenus montrent une diminution de l’amplitude de la VCNi et une augmentation de l’accoutumance durant les expositions réelles et fictives, par comparaison aux situations où le téléphone était fermé. L’exposition (réelle ou fictive) au téléphone cellulaire semble donc avoir une incidence sur l’activité électrique cérébrale, en réduisant la réaction d’éveil et la préparation aux stimulus d’avertissement.

de Tommaso, M., P. Rossi, R. Falsaperla, V.de V. Francesco, R. Santoro et A. Federici. 2009. « Mobile phones exposure induces changes of contingent negative variation in humans »,Neurosci Lett, 464(2): 79-83.

Pour plus de renseignements, voir « Recherche – Clinique – Fonctions cognitives »
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Méthode de calcul du gradient d’exposition pour évaluer l’exposition aux téléphones cellulaires durant les études épidémiologiques


L’objectif de cette étude était de proposer une méthode pour déterminer la répartition tridimensionnelle du débit d’absorption spécifique (DAS) dans le cerveau des humains causé par l’usage du téléphone cellulaire, puis d’établir un gradient d’exposition pouvant servir aux études épidémiologiques. La répartition du DAS a été estimée à partir d’un essai de conformité ayant produit des résultats sur des appareils réels. Selon les résultats obtenus, la méthode proposée fournit une bonne estimation de la répartition tridimensionnelle du DAS dans les tissus cérébraux importants pour les études épidémiologiques et elle a été utilisée dans le cadre de l’étude INTERPHONE.

Wake, K., N. Varsier, S. Watanabe, M. Taki, J. Wiart, S. Mann, I. Deltour et E. Cardis. « The estimation of 3D SAR distributions in the human head from mobile phone compliance testing data for epidemiological studies », Phys Med Biol, 54(19): 5695-5706 (avant impression), 1er sept. 2009.

Pour plus de renseignements, voir « Recherche – Évaluation d’exposition »
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Les ensembles mains libres avec et sans fil réduisent considérablement l’exposition de l’ensemble de la tête par comparaison aux appareils portatifs tenus près de la tête


Les auteurs de cette étude voulaient déterminer si les rayonnements des champs de radiofréquences émis par les téléphones cellulaires branchés à un ensemble mains libres avec ou sans fil réduisent l’exposition chez les humains. Leurs résultats indiquent que le DAS spatial maximal dans la tête a été plus de cinq fois inférieur aux limites de la CIPRNI durant l’utilisation d’un ensemble mains libres avec fil. L’exposition de la tête entière a aussi été réduite de façon significative durant l’utilisation des ensembles mains libres avec fil, comparativement aux téléphones portatifs tenus près de la tête, et ce même dans les scénarios de couplage extrême. Selon les auteurs, les ensembles mains libres avec fil peuvent, dans des conditions extrêmes, causer une augmentation localisée de l’exposition dans la région de l’oreille située à l’intérieur de la tête. Dans le cas toutefois des ensembles mains libres sans fil, l’exposition est constamment réduite.

Kühn, S., E. Cabot, A. Christ, M. Capstick et N. Kuster. « Assessment of the radio-frequency electromagnetic fields induced in the human body from mobile phones used with hands-free kits », Phys Med Biol, 54(18): 5493-5508 (avant impression), 26 août 2009.

Pour plus de renseignements, voir « Recherche – Évaluation d’exposition »
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Mesure de l’exposition aux CEM des radiofréquences chez le personnel opérationnel d’un service de téléphonie mobile


Cette étude avait pour but d’évaluer l’exposition du personnel opérationnel d’un service de téléphonie mobile aux champs de radiofréquences (RF) produits par les stations de base. Des exposimètres ont été utilisés pour enregistrer l’exposition aux RF chez 23 techniciens opérateurs et 22 « autres travailleurs ». La densité d’exposition a été déterminée à partir de 229 indicateurs d’exposition. L’analyse par groupement utilisée pour cette étude n’a pas permis d’établir un profil fiable pour les deux groupes de travail, même si une différence significative a été observée entre les deux pour certains indicateurs de l’exposition.

Chauvin, S., M.L. Gibergues, G. Wüthrich, D. Picard, J.P. Desreumaux et J.C. Bouillet. « Occupational exposure to ambient electromagnetic fields of technical operational personnel working for a mobile telephone operator », Radiat Prot Dosimetry (avant impression), 15 sept. 2009.

Pour plus de renseignements, voir « Recherche – Évaluation d’exposition »
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Les différences morphologiques entre les modèles semblent être une importante cause de variation du DAS dans les yeux et le cerveau


Le but de cette étude était d’utiliser la méthode des différences finies dans le domaine temporel pour calculer la valeur du DAS dans la tête et le cerveau de modèles de tête d’hommes et de femmes adultes, après une exposition à des fréquences de 1 à 10 GHz. L’élévation de la température a été mesurée. La moyenne cubique du DAS sur 10 g dans les yeux et le cerveau ainsi que le DAS moyen dans les yeux ont été calculés puis comparés à l’élévation de la température ainsi qu’aux limites d’exposition recommandées. Selon les résultats obtenus, les différences morphologiques entre les modèles hommes et femmes seraient une importante cause de variation. Les différences entre les deux modèles de tête ont été dans l’ensemble supérieures à l’erreur de calcul et aussi à la différence entre les conditions yeux ouverts et fermés. Les auteurs concluent que, lorsque la densité de puissance de l’onde plane incidente est limitée à moins de 100 W/m, l’élévation de la température dans les yeux et le cerveau est généralement inférieure à 1 °C dans l’ensemble de la gamme de fréquences.

Laakso, I. 2009. « Assessment of the computational uncertainty of temperature rise and SAR in the eyes and brain under far-field exposure from 1 to 10 GHz », Phys Med Biol, 54(11): 3393-404.

Pour plus de renseignements, voir « Recherche – Évaluation d’exposition »
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L’importance d’évaluer à la fois les effets électriques et thermiques de l’exposition de la population aux rayonnements non ionisants

Cette étude avait pour but de déterminer quelles composantes du spectre du CEM (0,5 à 2 200 MHz) sont d’importantes sources de rayonnements non ionisants. Les niveaux de densité de puissance ont été calculés pour différentes modulations : radiodiffusion, télévision, et bandes de téléphonie mobile GSM, DCS et UMTS. Les niveaux mesurés ont ensuite été comparés aux niveaux de référence établis par la CIPRNI pour l’exposition à des sources de fréquences multiples, en regard des effets thermiques et de la stimulation électrique observés. Les bandes qui ont contribué le plus aux effets thermiques ont été les ondes décamétriques et les téléphones cellulaires, leur apport représentant respectivement 46,2 % et 32,6 % de l’exposition totale. Étant donné la complexité de l’environnement électromagnétique, les auteurs estiment qu’Il est essentiel de connaître le spectre des radiofréquences pour pouvoir déterminer dans quelle mesure chaque bande contribue à l’exposition de la population,.

Paniagua, J.M., M. Rufo, A. Jiménez, A. Antolín et M. Sánchez. 2009. « Electrical stimulation vs thermal effects in a complex electromagnetic environment », Sci Total Environ, 407(16): 4717-4722.

Pour plus de renseignements, voir « Recherche – Évaluation d’exposition »
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Les champs de radiofréquences n’influencent pas la perméabilité de la barrière hémato-encéphalique
Cette étude se voulait une répétition d’une étude menée en 2003, qui avait révélé qu’une seule exposition de 2 h aux signaux GSM de 900 MHz des téléphones cellulaires avait induit des lésions cérébrales chez des rats. Les conclusions de cette nouvelle étude n’ont pas corroboré ceux de l’étude précédente.

de Gannes, F.P., B. Billaudel, M. Taxile, E. Haro, G. Ruffié, P. Lévêque, B. Veyret et I. Lagroye. (2009). « Effects of head-only exposure of rats to GSM-900 on blood-brain barrier permeability and neuronal degeneration », Radiat Res, 172(3): 359-367.

Pour plus de renseignements, voir « Recherches – Laboratoire – Fonctions cérébrales »
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Inquiétudes au sujet des risques possibles des champs électromagnétiques émis par l’équipement électrique et de communication

Les auteurs de cette étude ont examiné les risques possibles des champs électromagnétiques (CEM) pulsés sur la neurogenèse postnatale du rat, en regard de l’âge de l’animal et de la durée d’exposition. Leurs résultats indiquent que les CEM induisent d’importants changements reliés à l’âge et à la dose sur la prolifération cellulaire.

Orendácová, J., E. Raceková, M. Orendác, M. Martoncíková, K. Saganová, K. Lievajová, H. Abdiová, J. Labun et J. Gálik. (2009). « Immunohistochemical study of postnatal neurogenesis after whole-body exposure to electromagnetic fields: evaluation of age-and dose-related changes in rats », Cell Mol Neurobiol, 29(6-7): 981-990.

Pour plus de renseignements, voir « Recherches – Laboratoire – Fonctions cérébrales »
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L’exposition aux champs électromagnétiques peut-elle jouer le rôle d’une thérapie non pharmacologique non invasive contre la maladie d’Alzheimer?


Ce rapport présente les premières données sur les bienfaits cognitifs d’une exposition à long terme aux champs électromagnétiques associés directement à l’usage du téléphone cellulaire (918 MHz; 250 mW/kg).

Arendash, G.W., J. Sanchez-Ramos, T. Mori, M. Mamcarz, X. Lin, M. Runfeldt, L. Wang, G. Zhang, V. Sava, J. Tan  et C. Cao. « Electromagnetic field treatment protects against and reverses cognitive impairment in Alzheimer's disease mice », J Alzheimers Dis (avant impression), 2009.

Pour plus de renseignements, voir « Recherches – Laboratoire – Fonctions cérébrales »
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Le CAPE peut-il prévenir les changements oxydatifs induits par les champs électromagnétiques?


Les auteurs de cette étude ont examiné les possibles effets protecteurs de l’ester phényléthyle d’acide caféique (CAPE) sur la peroxydation des lipides, ainsi que l’activité des enzymes antioxydantes dans le foie de rats exposés à un champ électromagnétique (CEM) de 900 MHz. Les auteurs concluent que le CAPE pourrait prévenir les changements oxydatifs induits par les CEM dans le foie en renforçant le système de défense antioxydant.

Koyu, A., F. Ozguner, H. Yilmaz, E. Uz, G. Cesur et N. Ozcelik. (2009). « The protective effect of caffeic acid phenethyl ester (CAPE) on oxidative stress in rat liver exposed to the 900 MHz electromagnetic field », Toxicol Ind Health, 25(6): 429-434.

Pour plus de renseignements, voir « Recherches – Laboratoire – Autres études – Radicaux libres »
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La valeur probante de la preuve n’indique pas d’effets non thermiques spécifiques dus aux rayonnements non ionisants au niveau des gènes ou des protéines


Cet article de synthèse par McNamee et Chauhan examine les plus récentes données scientifiques sur les changements dans l’expression des gènes et des protéines qui pourraient être induits par les rayonnements des champs de radiofréquences. Selon certaines études, les rayonnements non ionisants pourraient altérer l’expression des gènes ou des protéines dans différents types de cellules ou de tissus et avoir ainsi des effets nocifs sur la santé. À l’opposé, d’autres études en laboratoire n’ont démontré aucun effet nocif sur la santé attribuable à l’exposition aux rayonnements non ionisants. Les auteurs concluent que la valeur probante de la preuve actuelle n’indique aucun effet non thermique spécifique dû aux rayonnements non ionisants au niveau des gènes ou des protéines. Ils notent cependant que certaines études rigoureuses menées en laboratoire fournissent suffisamment de preuves d’interactions entre les rayonnements non ionisants et l’expression des gènes ou des protéines pour poursuivre l’étude de cette question.

McNamee, J.P, et V. Chauhan. 2009. « Radiofrequency radiation and gene/protein expression: a review », Radiat Res, 172(3): 265-287.

Pour plus de renseignements, voir « Recherches – Laboratoire – Cancer » et « Bibliographie – Articles de synthèse – Cancer »
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Le COMAR recommande aux autorités de la santé publique de continuer à fonder leurs politiques sur les limites actuelles de sécurité en matière de RF


L’objet de l’énoncé d’information technique (Technical Information Statement) du Committee on Man and Radiation (COMAR) était de trouver des sources crédibles d’information scientifique sur les risques potentiels pour la santé associés à l’exposition aux champs de radiofréquences (RF). Cet énoncé fait référence à certains rapports d’experts, pour la plupart disponibles sur Internet. Le présent rapport résume les conclusions de plusieurs rapports importants et commente notamment le rapport sur le projet Bioinitiative bien connu.

Committee on Man and Radiation (COMAR). 2009. « COMAR technical information statement: expert reviews on potential health effects of radiofrequency electromagnetic fields and comments on the bioinitiative report », Health Phys, 97(4): 348-356.

Pour plus de renseignements, voir « Bibliographie – Articles de synthèse – général »
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Revue des études scientifiques sur les symptômes ou les maladies pouvant être dus à l’exposition aux champs de radiofréquences


Cet article de synthèse avait pour but d’évaluer la documentation scientifique et les bases de données, afin de déterminer l’incidence et la prévalence des symptômes et des maladies qui avaient précédemment fait l’objet de mises en garde de la part de certains médecins vivement préoccupés par les effets des radiofréquences. Les affections et troubles suivants ont été examinés : maladie d’Alzheimer, démence, troubles du sommeil, acouphène, accident vasculaire cérébral, cardiopathies ischémiques, maux de tête et migraine. Les auteurs du présent article notent qu’aucune étude menée depuis 1993 ne fait état d’une hausse « spectaculaire » des symptômes ou maladies précités. Les auteurs concluent que leur analyse laisse fortement croire que les données de santé publique ne corroborent pas les allégations précédentes.

Zur Nieden, A., C. Dietz, T. Eikmann, J. Kiefer et C.E. Herr. « Physicians appeals on the dangers of mobile communication – what is the evidence? Assessment of public health data », Int J Hyg Environ Health (avant impression), 5 sept. 2009.

Pour plus de renseignements, voir « Bibliographie – Articles de synthèse – général »
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